En 2012, elle décide d'entreprendre une série de voyages qu'elle vit comme une expérience poétique, le voyage en soi devenant une œuvre, une recherche intuitive de couleurs et de formes, notamment celles produites par les arts de l'Islam dans l'utilisation de la faïence et du stuc.
Révélations successives, de l'Andalousie au Maroc.
Cette hantise la porte en Iran notamment à Isfahan, à Yazd où elle retrouve dans la force verticale de la couleur des mosquées l'intuition recherchée.